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Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.
Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Évangile selon Luc
Noël est traditionnellement considéré comme une période de réunions, de joie et de réjouissances familiales. Et il en est ainsi pour beaucoup. Mais qu'en est-il de ceux qui sont loin de chez eux, ou de ceux qui passent leur premier Noël privé d'un être aimé ? Peuvent-ils, eux aussi, ressentir de la joie en cette circonstance ? Mon expérience personnelle aidera peut-être ceux qui recherchent la véritable signification de la joie de Noël. Le premier Noël après le décès de mon mari fut lugubre. Les efforts affectueux de mes amis pour m'entraîner dans leurs joyeuses activités ne me procurèrent qu'un sentiment d'apitoiement sur moi-même. L'année suivante, alors que chacun s'affairait à disposer les décorations de Noël, je mis délibérément ma maison sens dessus dessous, je fis venir les peintres et m'efforçai d'oublier ces festivités. Le résultat fut encore plus désastreux. Pour lire la suite ICI Etre sur une terre sacrée
Keith S. Collins Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2018 Cela m’arrive de plus en plus souvent. Au cours d’une journée ordinaire, une petite perception spirituelle, à peine discernable, vient à moi. Elle est en général liée à un sujet auquel j’ai pensé, à un problème que j’ai essayé de résoudre, ou à une lecture récente. Je constate alors que si je m’interromps dans mes activités pour écouter tranquillement cette pensée, celle-ci devient plus concrète et plus claire. Je commence à comprendre ce phénomène à la lumière de la Science Chrétienne : Dieu, l’Esprit divin, est tout bien, Il est le seul pouvoir, et Il a créé l’homme, Son image spirituelle, pour refléter ce bien et ce pouvoir sans limites, sans imperfection ni éléments matériels. Grâce à cette lentille, je suis à même de faire face à mon problème ou de comprendre ce que j’ai lu sous une lumière nouvelle tout à fait pertinente. Ces moments de perception spirituelle sont mes buissons ardents (voir Exode 3:1-5). Pour lire la suite...
Harpes et guérison Christine Jenks Herlinger Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 2000 Le roi Saül, un grand personnage des Écritures, était troublé par un mauvais esprit. Quand il entendit parler de David, un jeune homme qui jouait très bien de la harpe, il lui demanda de venir jouer pour lui quand il était troublé. Ce que fit David, et Saül constata que le son de la harpe le libérait de ses pensées dépressives (voir I Sam. 16:14—23). Pourquoi la musique jouée sur la harpe favoriserait-elle la guérison? Je joue moi-même de cet instrument. Je me sens en paix chaque fois que je joue. Je sais que la musique a apporté joie et réconfort à des auditeurs qui faisaient face à des difficultés physiques ou des problèmes affectifs. Néanmoins, je cherchais à mieux comprendre ce qui rendait le son de la harpe si important dans le guérison du récit biblique. Jouer d’un instrument ne suffit pas à apporter une paix durable. Alors en quoi la façon dont David jouait de la harpe était elle différente? Pour lire la suite... Comment j’ai trouvé la Science Chrétienne Une courte prière a changé ma vie Carolyn Garnaas Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2022 La Science Chrétienne m’a été présentée il y a plus de quarante ans à la suite d’une réponse surprenante à une très courte prière. J’avais grandi dans une différente dénomination chrétienne et, pendant mes années d’études, j’avais exploré plusieurs autres confessions chrétiennes. J’aimais la Bible et je la lisais souvent. Mais ce que je lisais était parfois déroutant, de nombreuses promesses bibliques n’étaient tout simplement pas réalistes dans le monde actuel. Un soir, alors que j’avais déménagé loin de mon ancien domicile, j’ai eu du vague à l’âme, et j’ai demandé à Dieu de m’inspirer une approche plus satisfaisante de l’étude de la Bible. Le lendemain une intérimaire a été engagée dans le bureau dans lequel je travaillais. Elle portait une petite broche qui représentait une croix avec une couronne par-dessus. Je lui ai demandé ce que cela représentait, elle m’a répondu que c’était un petit symbole de sa religion, la Science Chrétienne. Elle avait avec elle des exemplaires des périodiques de la Science Chrétienne et elle a été heureuse de m’en donner. Nous sommes devenues amies pendant le temps qu’elle a travaillé dans notre bureau. Pour lire la suite... Le champ de la conscience
William Milford Correll Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1970 Dans une de ses paraboles au sujet du royaume des cieux, Christ Jésus prit un jour comme exemple un champ de blé. Une fois le grain dûment semé, un ennemi du fermier y vint semer de l'ivraie. Et quand le blé leva, l'ivraie apparut également. La question se posa alors de trouver le meilleur moyen de séparer le blé de l'ivraie, de manière à pouvoir ainsi tirer profit de la récolte. Le propriétaire du champ instruisit ses serviteurs de laisser tout pousser ensemble jusqu'au temps de la moisson; ils seraient alors en mesure de mettre en gerbes et de brûler les mauvaises herbes tandis que le blé serait mis en grange. Voilà qui illustre bien ce qui se passe dans la conscience humaine. L'ivraie représente les croyances selon lesquelles l'intelligence et la vie se trouveraient dans la matière; le blé, les vérités spirituelles de l'être. Au temps de la moisson, lorsque nous progressons en compréhension spirituelle dans notre étude de la Science Chrétienne, nous commençons à percevoir l'irréalité de la matière et des croyances matérielles: c'est là mettre en gerbes et brûler l'ivraie. Nous commençons à comprendre la présence, le pouvoir de Dieu, l'Esprit, et de Ses idées spirituelles: et cela, c'est mettre le blé en grange. Ce procédé de moisson spirituelle aligne la conscience humaine sur l'Entendement divin ou Dieu, et démontre ainsi progressivement le gouvernement de Dieu qui se manifeste par un sens de bonheur plus durable. Pour lire la suite... Brûlons l'Ivraie!
Paul Stark Seeley Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1944 Une dame avait maintes fois senti depuis quelques années les atteintes d'un mal affectant son dos. Comme elle étudiait la Science Chrétienne, elle avait prié avec ferveur pour s'affranchir de cette affliction. Une crise se produisit: au matin, à son réveil, il lui sembla que son épine dorsale était complètement disloquée. Soutenue par sa famille, elle se rendit au salon, où elle s'effondra dans un fauteuil. Pendant la journée et jusque tard dans la nuit, elle travailla comme on le fait en Science, mais n'obtint aucun soulagement. Enfin, redoublant d'humilité elle pria Dieu de lui montrer Sa voie pour parvenir à la guérison. Elle se sentait prête à renoncer, quelle que soit leur forme, aux erreurs qui la liaient. Doucement vint la réponse à sa prière: il lui fallait exclure de sa conscience l'amertume qu'elle avait nourrie contre un parent qui se livrait à la boisson. Sincèrement, avec zèle, elle s'y appliqua, en ayant recours à la Science Chrétienne. Elle se souvint que dans une parabole, Jésus montre la nécessité de séparer l'ivraie d'avec le froment — les mensonges de l'erreur d'avec les faits de la Vérité. Elle se rappela ce commandement: « Arrachez premièrement l'ivraie et liez-la en gerbes pour la brûler. » Pour lire la suite... La Vigilance spirituelle contrebat l'Apathie W. STUART BOOTH Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1944 En écrivant aux chrétiens d'Éphèse, Paul désirait les tirer de l'apathie que provoque l'animalité, du mesmérisme qu'entraînent les tendances matérialistes; aussi leur adressait-il ce vibrant appel (Éphésiens 5: 14): « Réveille-toi, toi qui dors, et relève-toi d'entre les morts, et le Christ t'éclairera! » Précédemment, dans son épître aux Romains, l'apôtre avait indiqué que la mort n'est pas une condition physique, mais un état de la conscience humaine ou mortelle. Ayant déclaré d'une manière catégorique: « Les sentiments que fait naître la chair produisent la mort »— il ajoutait: « mais les sentiments que fait naître l'esprit produisent la vie et la paix » (Romains 8:6). Nous voyons donc que Paul reconnaissait la facilité avec laquelle les hommes cèdent à l'emprise des croyances matérielles, même après que le Christ, la Vérité, les a touchés et qu'ils ont pris le nom de chrétiens. Sans doute, si Paul était personnellement avec nous aujourd'hui, il renouvellerait ses appels et les rendrait peut-être encore plus urgents; car le monde doit faire face à une formidable tentative de mesmérisme collectif qui prétend stupéfier, intimider, dominer, asservir les hommes et les peuples. Pour lire la suite...
Qui veut un corps meilleur ? JOYCE D. WETHE Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1987 Les livres, les magazines, les journaux, la télévision et même une grande partie des conversations ordinaires traitent largement du corps humain, des moyens de l’améliorer, de l’entretenir et de l’embellir. Mais même dans les meilleures conditions, le corps humain présente des limites et il est vulnérable aux assauts de la fatigue, du stress, de l’âge, des réactions chimiques, de la contagion et autres agressions de ce genre. On pourrait bien se demander s’il n’existe pas un meilleur corps que celui que cette brave humanité cherche toujours à améliorer et à soigner. C’était bien l’avis de Mary Baker Eddy. Dans Science et Santé, elle pose la question: « Que sont le corps et l’Ame ? » Sa réponse nous donne matière à réflexion, car elle ne se réfère pas du tout au corps. Elle commence par ces mots: « L’identité est le reflet de l’Esprit, le reflet sous des formes multiples et variées du Principe vivant, l’Amour. » 1 Ce passage met peut-être en évidence le fait que notre concept actuel du corps, c’est-à-dire un sens charnel de l’être, doit être échangé contre cette identité véritable qui a son origine dans l’Esprit, Dieu, et qui y demeure. Mais qu’est-ce que l’identité véritable ou idéale, le reflet de l’Esprit dont parlait Mary Baker Eddy ? Pour lire la suite... Qu’en est-il de notre corps ? Ralph E. Wagers Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 8 janvier 2016 Publié à l’origine en anglais dans le Christian Science Journal de décembre 1957 Nous souhaitons tous avoir un corps en bonne santé. D’ailleurs, pour qu’il pose moins de problèmes, un grand nombre de personnes ont constaté qu’il est essentiel de le traiter comme un serviteur et non comme un maître. L’homme est véritablement l’incarnation consciente des idées de l’Esprit et des facultés, capacités et qualités qui le caractérisent en tant que reflet spirituel de Dieu. D’un point de vue humain, toutefois, nous paraissons avoir un corps matériel dont nous nous servons. Il nous identifie par rapport à ce qui nous entoure, et il change quand notre pensée change. Il disparaîtra lorsque nous prendrons pleinement conscience de notre identité spirituelle ou corps réel. En attendant, comprendre la Science qui relie l’homme à l’Entendement divin nous rend progressivement supérieur au concept humain du corps. Cette compréhension nous permet d’exercer de plus en plus notre domination sur un concept matériel du corps. Pour lire la suite...
La vieillesse est un mythe ROBERT A. MOSS Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1979 De même que la jeunesse. De même que n’importe quel âge. Shakespeare divise la vie d’un homme en sept âges, commençant par « le bébé, vagissant et bavant dans les bras de sa nourrice » et finissant par une « seconde enfance, état de pur oubli, sans dents, sans yeux, sans goût, sans rien » 1. Un autre génie, un génie spirituel, le Découvreur et Fondateur de la Science Chrétienne, présente un homme différent, un homme immortel, un homme sans âge, l’homme réel, l’homme de Dieu. Mrs. Eddy écrit: « Même la poésie de Shakespeare dépeint la vieillesse sous les traits de l’enfance, de l’impuissance et de la décadence, au lieu d’assigner à l’homme l’éternelle grandeur et l’immortalité du développement, de la puissance et du prestige. » Elle affirme: « Dans la Science, l’homme n’est ni jeune ni vieux. » Pour lire la suite... Le troisième âge et l'avenir SHEILA P. GEIER Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1980 Est-il juste qu'une vie active, bien remplie, aboutisse à la détérioration, au ralentissement de l'activité et à l'impuissance qu'on associe parfois avec la vieillesse ? Est-ce là la récompense de nombreuses années de bon travail à l'église et dans la localité, au bureau ou à la maison ? Certainement pas ! Le déroulement des années n'a rien à voir avec les problèmes de santé mentale ou physique et notre expression consciente de Dieu, la Vie divine, peut maintenir chacun de nous en bonne santé, utilement actif, quel que soit notre âge. Dans l'industrie ou les affaires, on pense souvent que les employés cessent d'être utiles à partir d'un certain âge. Quel manque de clairvoyance cela dénote, quand on considère la compétence et la sagesse que ces travailleurs ont acquises par des années d'expérience, de réflexion et d'observation ! Mais si, en vertu de tels règlements, on se trouve mis à la retraite, il ne faut pas admettre que le moment est venu de se retirer de la vie et de commencer à décliner régulièrement sur le plan de la santé, de la liberté et de l'utilité. Que cela soit plutôt l'occasion d'utiliser, dans une nouvelle direction, les talents que Dieu nous a donnés. Libérés de la routine des huit heures de travail, nous percevons que de nouveaux horizons s'ouvrent à nous. Pour lire la suite...
Ne mordez pas dans la pomme
Joyce C. Leddy Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1991 Quand Nos Enfants étaient petits, ils se taquinaient sans aucune pitié, ce qui me désolait beaucoup. Souvent, l'un d'eux essayait de faire avaler à l'autre une énorme couleuvre. S'il parvenait à le faire marcher, il riait et lui disait d'un ton railleur: « Ha, ha ! tu as mordu ! » J'ai souvent repensé à cette expression. Elle me rappelle l'allégorie biblique du livre de la Genèse: un serpent parleur se sert de la ruse pour convaincre Ève de manger le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. On se souviendra très certainement qu'après avoir mordu dans la pomme, Adam et Ève se sentirent nus et honteux. Non seulement ils devinrent conscients du mal, mais ils se firent en plus sortir du jardin d'Éden, où la vie avait été si agréable. Dieu prit pour eux l'aspect d'une divinité impitoyable et courroucée. Malheureusement, le genre humain continue de souffrir à cause de ce concept erroné de la condition de l'homme. Pour lire la suite... Le chaos de l’entendement mortel ou le cosmos de l’Entendement immortel ? Jill Gooding Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 2022 Aujourd’hui, il semble que notre monde soit en proie au chaos. Chaque fait d’actualité semble être porteur de confusion ou d’une crise quelconque, génératrice d’incertitude et d’anxiété. Pouvons-nous aider à guérir cela en tant qu’individus, et nous élever et élever le monde au-dessus de ce chaos ? Une courte phrase écrite par Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, fournit une idée encourageante et une base à nos prières pour le monde. En parlant du sens matériel de la vie, opposé à l’intelligence divine, elle écrit : « Le chaos de l’entendement mortel devient le marchepied par lequel on atteint au cosmos de l’Entendement immortel. » (Unité du Bien, p. 56) Le mot chaos fait référence à un état de confusion ou de désordre complet, et à un manque total d’organisation ou d’ordre. Cosmos est un mot grec qui désigne à l’origine l’univers considéré en tant que système ordonné et harmonieux. Pour lire la suite... ARCHE. Sécurité ; l’idée, le reflet, de la Vérité, prouvée aussi immortelle que son Principe ; la compréhension de l’Esprit, détruisant la croyance en la matière. Dieu et l’homme coexistants et éternels ; la Science montrant que les réalités spirituelles de toutes choses sont créées par Lui et existent à jamais. L’arche représente la tentation surmontée et suivie d’élévation spirituelle. Mary Baker Eddy, Science et Santé p581
"Contemplant les tâches infinies de la vérité, nous nous arrêtons un instant – nous nous attendons à Dieu. Puis nous allons de l’avant jusqu’à ce que la pensée détachée de toute entrave marche ravie, et que la conception libérée prenne son essor vers la gloire divine." Mary Baker Eddy Science et Santé p323 La prière guérit le chagrin
Tara Bhrushundi Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 2022 Paru d'abord sur notre site le 28 octobre 2021 Je suis profondément reconnaissante de pouvoir relater la guérison du chagrin qui s’est produite seulement cinq jours après le décès de mon premier mari. Au début, je me suis sentie profondément bouleversée et en proie à la confusion. Tout semblait sens dessus dessous, et une ombre inconnue auparavant planait désormais sur ma conscience. Soutenue par ma famille et mes amis, et par les prières de mon dévoué professeur de Science Chrétienne, je suis parvenue à me nourrir, à marcher, et à vivre, au jour le jour. Deux versets bibliques m’ont immédiatement soutenue lorsque j’ai ouvert ce livre sacré au hasard pour y trouver du réconfort. Le premier se trouve dans l’Évangile selon Luc (10:42) : « Une seule chose est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée. » Quelle est cette « bonne part » ? J’ai réalisé que c’était la Science Chrétienne, ma foi en Dieu, et l’essence de mon être, intouché et spirituel, comme Dieu. En choisissant cela, comme Marie l’avait fait, je savais que j’aurais tout ce dont j’avais besoin. Pour lire la suite...
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DAILY LIFT Un message d'inspiration quotidien Leçon biblique de cette semaine
Substance Pour écouter un extrait -.-.-.-.-.-
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Les livrets trimestriels janvier-mars 2024 sont disponibles à l'achat ! La salle de lecture est ouverte : MERCREDI 16h30 à 19h00 VENDREDI 15h00 à 17h00 DIMANCHE 15 min avant et après le service qui a lieu de 10h30 à 11h30 Tel : 06 30 60 07 19 -.-.-.-.-.-.-
Assemblée Annuelle lundi 3 juin 2024 "La joie au sein de l’Église vivante" "La découverte et la preuve."
REDIFFUSION "Votre influence dépend du poids que vous mettez du bon côté de la balance. [...] Le mal n'est pas pouvoir."
Mary Baker Eddy, Science et Santé NOUVEAU
Explorez les archives de la bibliothèque Mary Baker Eddy NOUVEAU à la salle de lecture -.-.-.-.-.- Ce livre commence par un sermon que Mary Baker Eddy a écrit pour la dédicace de l’édifice original de L’Église Mère, en 1894. Il inclut également des extraits de journaux qui rendent compte de cette dédicace. Ceux-ci racontent l’immense réalisation que représentait la construction de cette église et la façon dont elle témoigne de la foi et de la consécration du mouvement mondial de la Science Chrétienne.
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Donner et Recevoir les Mercredis Soirs WILLIAM R. RATHVON Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1930 -.-.-.-.-.-.-.-.
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Lecture à haute voix en commun de Science et Santé de Mary Baker Eddy
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Deuxième Église du Christ, Scientiste, Paris
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