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L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Romains 81/5/2022
Qui sommes-nous ?
[Original en français] CHARLES SAUTHIER Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’décembre 1966 Lorsque nous nous croyons physiques et mortels, nous acceptons une conception qui est la négation de la réalité. Mais la mortalité a l'apparence de la réalité pour quiconque accueille le témoignage des sens matériels. Ce témoignage est caractérisé dans la Genèse par une vapeur s'élevant de la terre qui « arrosait toute la surface du sol. » 1 Cette vapeur symbolise le mensonge; et la formation du premier homme, tiré de la poussière, intervient dans la partie légendaire du récit de la création à la suite de l'apparition de cette vapeur. Cet homme, Adam, ayant désobéi à Dieu, celui-ci dut prendre à son encontre de sévères mesures. Il est dit en effet: « L'Éternel Dieu fit donc sortir Adam du jardin d'Éden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été tiré. » 2 Pour lire la suite...
Le courage de donner
Caroleen Scholet Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 21 avril 2022 En 1917, un étranger a donné à mon grand-père un exemplaire du Christian Science Monitor, qui l’a progressivement conduit à vouloir lire Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy. En fait, il a trouvé un peu plus tard un exemplaire du livre sur une route boueuse, en France, pendant la Première Guerre mondiale. Cela s’est produit juste avant la pandémie de 1918, et nous voici cent ans plus tard face à toutes les ramifications d’une autre pandémie. Je pense encore à l’expérience de mon grand-père, qui a changé à jamais le cours de la vie de notre famille. Un simple don chrétien peut toucher les autres de façon indicible. L’une de mes prières constantes en réponse aux besoins du monde en ce moment consiste à comprendre plus clairement Dieu et Sa création spirituelle, à connaître les idées que Dieu, l’Amour divin, nous communique, qui nous rassurent et éliminent la peur. Une autre prière récurrente consiste à demander à Dieu de me montrer comment bénir les autres de manière concrète. Pour lire la suite...
Ne laissons pas Eutychus sur la fenêtre !
Josette Flamand Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’janvier 1994 Il est beaucoup question, à notre époque, des problèmes de la jeunesse, de son avenir, de son intégration plus ou moins harmonieuse, et pourtant si indispensable, dans la société. La formation scolaire, l'attitude même de la société à l'égard de la jeunesse se voient remises en cause, et diverses solutions sont à l'étude. Cette situation peut se retrouver dans les églises. On y déplore parfois l'absence de jeunes, un manque de renouvellement. Il semblerait presque qu'un maillon fasse défaut entre la fin de l'école du dimanche et la participation des jeunes aux activités d'église. Priant à ce sujet récemment, j'ai trouvé très utile une histoire de la Bible qui nous est relatée dans les Actes des Apôtres. Ce récit se situe au tout début de l'Église chrétienne. La scène se déroule à Troas, où l'apôtre Paul vient de passer une semaine à prêcher l'évangile de Christ Jésus. De nombreuses personnes sont assemblées dans une chambre haute. Nous lisons: « Or, un jeune homme nommé Eutychus, qui était assis sur la fenêtre, s'endormit profondément pendant le long discours de Paul; entraîné par le sommeil, il tomba du troisième étage en bas, et il fut relevé mort. » ... Pour lire la suite...
"Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi." Jean 12:3212/4/2022
L’immolation de soi : se purifier, pas se condamner
William Whittenbury Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 11 avril 2022 Les écrits de Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, contiennent plusieurs références à un terme qui n’est pas vraiment courant aujourd’hui : l’immolation de soi. La première de ces références est présente dès les premières pages du premier chapitre du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures. L’auteur écrit : « La prière, la vigilance et le travail, unis à l’immolation de soi, sont les moyens accordés par la grâce de Dieu pour l’accomplissement de tout ce qui a été fait avec succès pour la christianisation et la santé du genre humain. » (p. 1) Dans le chapitre suivant, elle déclare : « La réconciliation exige une immolation constante du moi de la part du pécheur. » (p. 23) Pour lire la suite... Ce que j’ai appris au sujet de la résurrection Kelly Byquist Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 7 mars 2022 Tous les chrétiens connaissent la crucifixion de Christ Jésus. Mais nous pouvons tous être reconnaissants que la crucifixion ne soit pas la fin de son histoire ! Après avoir été descendu de la croix, Jésus a été mis dans un tombeau, une expérience qui, selon Mary Baker Eddy, lui offrit : « un asile contre ses ennemis, un lieu où résoudre le grand problème de l’être. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 44) Puis, on a enlevé la pierre qui fermait le tombeau et il en est sorti. Jésus avait annulé les prétendues lois de la science matérielle et donné la preuve scientifique et sublime de la Vie éternelle. La démonstration de son identité spirituelle en tant que Christ éternel a permis à Jésus de se libérer de la mort. C’est ce qu’on appelle la résurrection. Le Christ éternel, la vérité de la Vie éternelle, n’est absolument pas mort, mais il est bien vivant et capable de produire notre propre résurrection de la mortalité ! Il y a plusieurs années, j’ai été guérie en acquérant une compréhension plus profonde de la résurrection de Jésus et de ce qu’elle nous enseigne sur notre nature éternelle et spirituelle... Pour lire la suite... Le message de la Bible: Abolir la mort Walt Rodgers Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’juin 2004 Debout au milieu ruines de l’ancienne cité biblique de Capernaüm, au nord ouest de la mer de Galilée, je contemple les murs de pierres qui s’effritent dans ce qui fut une ville florissante il y a deux mille ans. Je suis déjà venu plus d'une dizaine de fois, j’ai embrassé le panorama du regard, me demandant chaque fois dans laquelle de ces demeures Jésus ressuscita la fille de Jaïrus, chef de la synagogue (voir Marc 5:22—24; 35—43). (...) Le récit biblique où Pierre ressuscite Tabitha (voir Actes 9:36—41), dans ce qui est aujourd’hui la ville moderne de Jaffa, donne aussi beaucoup à réfléchir. Cette femme était décédée des suites d’une maladie. Pourtant on envoya deux des premiers chrétiens chercher Pierre à Lydde. Un lecteur moderne pourrait se demander pourquoi. Or, ces premiers chrétiens étaient persuadés qu’il était possible de vaincre la mort, et quand ils arrivèrent, Pierre non plus ne leur demanda pas pourquoi. Pour lire la suite... TÉMOIGNAGE(...) Un dimanche, j'achetai un hebdomadaire local. J'y lus un poème de guérison très touchant concernant le cas d'un invalide qui avait été paralysé pendant quatre ans. Finalement le médecin-chef de la clinique l'avait abandonné. Un Scientiste Chrétien lui rendit visite et pria pour lui. Le lendemain matin, le patient pouvait s'asseoir; une semaine plus tard, il pouvait se tenir debout; après un mois, il couvrit huit kilomètres à pied et trois mois après il avait complètement recouvré sa santé et reprenait ses activités professionnelles de maître d'école. « Qu'est-ce que cet homme de Dieu peut-il bien lire ? me demandai-je. S'il lit la Sainte Bible, je la lis aussi. Oh ! Dieu, fortifie cet homme et moi-même et ceux de son espèce, afin que je puisse non seulement m'en sortir, mais aider les autres également dans le besoin. » Ce désir si sincère me rappelle que Jésus dit à ses disciples, après avoir guéri toutes sortes de maladies, redonné la vue aux aveugles, fait marcher les paralytiques, fait parler les muets, réformé les pécheurs et ressuscité les morts: « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais » (Jean 14:12). Pour lire la suite... « Vivez! » JEAN M. SNYDER Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’septembre 1941 D'après une des plus insidieuses croyances de l'esprit humain, la vie éternelle ne s'obtiendrait qu'en passant par l'épreuve appelée la mort. Cette supposition qui subordonne l'immortalité à la prétendue mort a enchaîné la race humaine en l'empêchant de voir le salut tout proche. A notre époque, les opinions théologiques les plus ancrées se transforment graduellement sous l'action de la Science Chrétienne, fondée sur la Bible. Ézéchiel nous a transmis cette exhortation divine: « Je ne prends point plaisir à la mort de celui qui meurt, dit le Seigneur, l'Éternel; convertissez-vous et vivez! » Des siècles auparavant, Moïse, qui avait saisi la grande vérité de l'être spirituel, disait au peuple d'aimer Dieu, de Lui obéir, et déclarait: « C'est lui, en effet, qui est ta vie et qui prolongera tes jours; » plus tard, David appuya sur la continuité de l'individualité véritable lorsqu'il s'écria: « L'Éternel est la force de ma vie. » D'autres auteurs se rendirent compte que par sa nature même, l'éternité ne peut rien avoir de commun avec la mort et la décomposition. Le Christ Jésus revendiquait la vie toujours présente; en fait il déclarait que Dieu étant sa Vie, lui-même vivait spirituellement; et ceci rendait indissoluble l'union avec le Père. Pour lire la suite... Une grave maladie et la peur de mourir ont été surmontées
Aaron Dyer Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 7 mars 2022 En octobre 2019, je me suis réveillé au milieu de la nuit avec la sensation soudaine que tout mon corps défaillait et que j’étais en train de mourir. C’est arrivé sans prévenir, car la veille je me sentais bien. J’étais désormais submergé par la peur. J’ai réveillé ma femme et nous avons prié ensemble comme on nous l’a appris en Science Chrétienne, affirmant que Dieu est l’unique Vie infinie, et donc que Dieu est ma vie. J’ai réalisé que je n’étais pas en danger et que je pouvais être rassuré, et m’appuyer sans crainte sur la connaissance que j’avais de ce fait. J’ai pu me reposer un peu plus cette nuit-là, mais le lendemain, je semblais avoir perdu le contrôle de mes fonctions corporelles. Immédiatement, j’ai demandé de l’aide à un praticien de la Science Chrétienne. J’avais eu d’autres guérisons importantes, et j’étais confiant pour celle-ci. Le praticien était aimant et ferme. Pour lire la suite...
JUSTE UN CONCEPT Eva-Maria Hogrefe Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’novembre 2009 Un jour, je suis tombée sur une observation d'un physicien disant que les choses matérielles que nous voyons, que nous croyons être de la matière, sont en réalité des impressions de la lumière sur la pensée, que nous objectivons inconsciemment. Il expliquait ensuite que cela s'applique également aux phénomènes de tous les sens matériels, et que les choses que nous pensons voir, entendre, sentir, toucher, goûter ne sont pas des objets extérieurs à la conscience mais des impressions qui s'y déposent. Par exemple, lorsque nous admirons la flamboyante beauté automnale d'un arbre, revêtu de jaune, d'orange et de rouge vif, nous pouvons voir cet arbre comme un objet et l'interpréter comme étant éphémère — un plaisir fugace pour les yeux. Mais la beauté est-elle dans cet « objet » appelé « arbre »? Ou bien qualifions nous de beau le concept mental que nous contemplons ? Pour reprendre le dicton, la beauté est dans l'œil de celui qui regarde; une phrase qui sonne juste du point de vue de la Science Chrétienne. La beauté véritable est quelque chose dont nous sommes conscients: une idée permanente et spirituelle produite et exprimée par l'Entendement divin. Parce que cette idée appartient à l'Esprit, la beauté existe partout, comme en témoigne la question que Dieu posa à Jérémie: « Ne remplis-je pas, moi, les cieux et la terre ? » (Jér. 23:24). Pour lire la suite...
Les pensées de Dieu sont parfaites et éternelles elles sont substance et Vie. Science et Santé p 2866/3/2022
Substance et Ressources George Shaw Cook Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’juin 1937 Elle est concise mais compréhensive cette définition de la substance, donnée par Mary Baker Eddy à la page 468 de Science et Santé avec la Clef des Écritures: « La substance est ce qui est éternel et incapable de discordance et de décomposition. » Puisque aucune forme de la matière n'est éternelle, puisque toutes les formes de la matière sont sujettes à la discordance et à la décomposition, la matière n'est évidemment pas substance. Ce qui est inerte ou sans intelligence n'a jamais rien à voir avec la substance réelle. Peser ou mesurer la vraie substance est impossible: elle est impondérable, infinie. Elle est sans bornes, sans limites, sans entraves, universelle, invisible, indivisible, spirituelle, inaltérable, incorruptible, indestructible, éternelle. Par contre, dans le monde matériel tout est limité, temporel, éphémère, de sorte que dans ce monde-là rien n'est vraiment substantiel. Pour lire la suite...
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DAILY LIFT Un message d'inspiration quotidien Leçon biblique de cette semaine
Adam et l'homme déchu Pour écouter un extrait -.-.-.-.-.-.-.-.
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Qu'est ce que le Héraut ? Réponse -.-.-.-.-.-.-.-.
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Lecture à haute voix en commun de Science et Santé de Mary Baker Eddy
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