"Fixez fermement votre pensée sur ce qui est permanent, bon et vrai, et vous le ferez entrer dans votre existence dans la mesure où cela occupera vos pensées." Science et Santé p261

Le Christ qui guérit

Nathan A. Talbot
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1979

Certaines choses ne devraient jamais être considérées comme acquises. L'une d'elles est le traitement par la Science Chrétienne.
Imaginez que vous faites partie de ce groupe de gens qui observaient Christ Jésus alors qu'il était en présence de l'homme à la main desséchée. Supposez que vous entendiez vraiment Jésus dire: « Étends ta main » 1 et que, alors que vous regardiez, la main redevienne saine. Ce serait un événement merveilleux. Comment ne pas être profondément ému par cette guérison ?

Pourtant certains témoins de cette guérison n'étaient pas profondément émus — tout au moins ils ne l'étaient pas d'une façon positive. Certains étaient irrités. Ils contestaient la guérison — le jour où elle avait eut lieu, son à-propos. Mais chacun de nous, en raison de ce que nous savons grâce à la Science Chrétienne, n'aurait-il pas apprécié la signification de cette guérison ?

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Comment Jésus concevait la matière

Allison W. Phinney
Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1988

Un jeune marin se trouvait à suivre le premier cours de Science Chrétienne* jamais donné, dans les années 1870.1 Ses mobiles n’étaient sans doute pas des plus élevés et son engagement spirituel était plutôt léger.

Il s’y était inscrit essentiellement parce que sa sœur le lui avait demandé. Après quelques leçons, cependant, il guérit une petite fille d’hydropisie. Il en fut si surpris qu’il abandonna le cours ! Apparemment, la capacité momentanée que ce jeune homme avait eue de guérir par la vérité spirituelle résultait de sa sensibilité à l’enseignement inspiré que dispensait Mary Baker Eddy.
Au premier abord, une telle guérison peut sembler inconcevable ou troublante pour l’entendement humain, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais la compréhension d’un point fondamental relatif à la matière peut nous permettre de renforcer notre conviction qu’il est réellement possible et naturel de suivre l’ordre de Jésus: « Guérissez les malades. » 2
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Une vision approfondie de « l’exposé scientifique de l’être ».

Deborah Huebsch s’entretient avec Laurance Doyle et Brian Kissock
Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 22 août 2022

Dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy pose la question : « Quel est l’exposé scientifique de l’être ? » et elle donne cette réponse : « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie, car Dieu est Tout-en-tout. L’Esprit est la Vérité immortelle ; la matière est l’erreur mortelle. L’Esprit est le réel et l’éternel ; la matière est l’irréel et le temporel. L’Esprit est Dieu, et l’homme est Son image et Sa ressemblance. Donc, l’homme n’est pas matériel ; il est spirituel. » (p. 468)

Deborah Huebsch, professeure de Science Chrétienne, a demandé à deux penseurs scientifiques de partager leurs idées sur « l’exposé scientifique de l'être ». Elle s’est d’abord entretenue avec Laurance Doyle, astrophysicien à l’Institut SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence), puis avec Brian Kissock, praticien et professeur de la Science Chrétienne. Voici un résumé de leurs conversations :

Deborah Huebsch : « L’exposé scientifique de l'être » est fondamental pour les scientistes chrétiens. Laurance, que signifie-t-il pour vous, en tant qu’astrophysicien et personne qui pratique la Science Chrétienne ?

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