Venez écouter notrele dimanche et le mercredi |
58 boulevard Flandrin
|
Chers membres et amis, Nous nous réjouissons de retrouver notre congrégation mondiale lors de l’Assemblée annuelle, le lundi 5 juin, à 13h00 (heure de Boston), autour du thème de cette année : « La découverte aujourd’hui : là où brûlent les cœurs ». Pour ceux qui assisteront en ligne, nous proposerons une interprétation simultanée de l’Assemblée annuelle de lundi et de la réunion du dimanche 4 juin, à 13h30 (heure de Boston), en français, en allemand, en espagnol et en portugais. Le chant de cantiques du samedi 3 juin, à 20h00 (heure de Boston), se déroulera en anglais uniquement. Comment se connecter en ligne dans votre langue 1. Ouvrez la page de l’Assemblée annuelle dans votre langue : a. Français : christianscience.com/assemblee-annuelle b. Allemand : christianscience.com/Jahresversammlung c. Espagnol : christianscience.com/asambleaanual d. Portugais : christianscience.com/assembleiaanual 2. La fenêtre de diffusion apparaîtra en haut de cette page. Cliquez sur le bouton triangulaire « Play » situé au centre de celle-ci pour démarrer la diffusion en direct. a. Cette webdiffusion de l’Assemblée annuelle débutera 60 minutes avant 13h00 (heure de Boston), l’horaire officiel, et le prélude musical débutera à 12h50 (heure de Boston). Tous les autres évènements débuteront 30 minutes avant l’horaire des réunions. b. Les onglets ou les liens pointant vers les langues vous permettent de changer la langue d’interprétation ou de visionner la diffusion originale en anglais. Nous vous encourageons à vous connecter assez tôt pour être prêts lorsque la diffusion en direct commence. Si vous souhaitez tester votre ordinateur et votre équipement audiovisuel pour vous assurer qu’ils diffusent le flux en direct, rendez-vous sur YouTube (youtube.com/live) pour sélectionner une vidéo en direct afin d’effectuer le test. Si vous n’êtes pas en mesure de regarder l’évènement en mode vidéo, vous pouvez également choisir de l’écouter en mode audio uniquement, tout en profitant de l’expérience du direct ! Si vous avez d’autres questions ou si vous souhaitez obtenir plus de détails sur la manière de vous connecter en ligne dans votre langue, veuillez consulter notre Guide pour les webdiffusions. Une rediffusion de l’Assemblée annuelle en anglais sera disponible en ligne dans les 24 heures. Nous posterons la rediffusion en français, en allemand, en espagnol et en portugais d’ici le 14 juin. Nous vous enverrons un e-mail lorsque toutes les rediffusions seront disponibles. N’hésitez pas à faire part de ces informations à votre église filiale ou votre société lors des annonces, durant les services, par e-mail ou dans votre bulletin d’information. Si vous souhaitez nous poser des questions, veuillez nous contacter à avotreservice@csps.com. Bien cordialement, Laurie Q. Richardson, C.S.B. Secrétaire de L’Eglise Mère Nous Souvenir de Notre Créateur WILLIAM C. HENDERSON Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1923 Pour Dieu, qui est le bien infini, la connaissance d'un manque quelconque ne peut exister. La Science Chrétienne nous enseigne que c'est cette conscience même que notre créateur, l'Entendement infini, a donnée à Ses enfants. Le manque implique la perte, l'absence, l'oubli. Ce qu'on appelle manque n'est donc qu'une croyance mortelle, la croyance que l'Amour, toujours plein de sollicitude pour son univers spirituel, puisse jamais oublier les besoins de son enfant. “Souviens-toi de ton Créateur” est la recette simple, mais effective, pour la guérison de tous les maux humains. Pour lire la suite...
Le Point de départ scientifique L. Ivimy Gwalter Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1947 Ceux qui sont accablés par des tâches humaines ou forcés de prendre une décision difficile s'écrient souvent: « Je ne sais par où commencer! Il se peut qu'en effet, mesmérisé, confondu, le mortel ne commence rien, mais s'attarde encore dans le royaume des sens; et les choses vont à la dérive, l'erreur couve sous la cendre. Le Scientiste Chrétien vigilant adopte une autre attitude. Il sait toujours par où commencer, car son livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, est explicite à ce sujet. S'il consulte la Concordance de Science et Santé et celle des autres ouvrages de Mrs. Eddy; s'il observe la manière dont elle emploie par exemple les termes point de départ, commencer, point de vue, base, et leurs dérivés — il découvrira promptement le vrai et le faux point de départ pour la déduction et l'action scientifiques. Pour lire la suite... Neutraliser les influences magnétiques Geoffrey J. Barratt Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1976 Un des faits spirituels les plus libérateurs qu’il nous est possible d’arriver à comprendre grâce à la Science Chrétienne * est que Dieu est le seul Moi ou Ego, que Dieu est l’Amour divin, l’essence de tout ce qui est réel. Grâce à l’inspiration spirituelle, accompagnée d’une humilité grande et profonde, nous pouvons commencer à sonder les profondeurs de ces vérités qui sont au cœur de la révélation de la Science Chrétienne et qui sont à la base des guérisons qu’elle accomplit. Ayant ressenti que l’être divin est notre véritable moi — que nous sommes faits à l’image de l’Esprit — nous désirons ardemment maintenir cet état de conscience. Pourtant souvent — où même, généralement, pour la majorité d’entre nous — cela semble difficile à faire. Pourquoi ? Parce qu’il semble y avoir une influence antagoniste qui tenterait de maintenir notre pensée ancrée et empêtrée dans les croyances matérielles. Cette prétention est le magnétisme animal. Elle voudrait entraîner notre pensée vers l’animalité, la matérialité et la personnalité mortelle, qui semblent entraver et obscurcir notre prise de conscience de la pure vérité de l’être et le fait que nous la vivons. De plus cette prétention entendrait retenir là notre pensée. Mais Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy dévoile la vacuité de cette influence et la neutralise. Il proclame: « Ainsi qu’on le dénomme dans la Science Chrétienne, le magnétisme animal ou hypnotisme est le terme spécifique désignant l’erreur, ou l’entendement mortel. C’est la fausse croyance que l’entendement est dans la matière, et qu’il est à la fois mauvais et bon; que le mal est aussi réel que le bien et plus puissant. Cette croyance n’a pas une seule qualité de la Vérité. » Pour lire la suite... La Pratique opposée à la Mauvaise pratique L. Ivimy Gwalter Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1948 Qui ne désire pratiquer ou mettre en œuvre ce qu’il sait? Même en dehors de la Science Chrétienne, l’éducation cherche à nous rendre capables de savoir, puis d’utiliser les connaissances acquises. A plus forte raison, le Scientiste Chrétien doit mettre en pratique la révélation qui lui a été donnée. La base de la pratique chrétiennement scientifique c’est la compréhension spirituelle. Une simple croyance, une foi non éclairée ne saurait suffire. La croyance, c’est l’attitude de l’entendement humain acceptant un concept qu’il a lui-même formé; elle est donc aussi mobile et variable que cet entendement. La croyance n’a ni stabilité ni fondements solides. Seule la compréhension spirituelle, révélation de l’Entendement divin, démontre le pouvoir de l’Entendement. Dans l’existence humaine, elle se manifeste comme une influence qui élève les hommes, leur fait du bien, les guérit et les régénère. Pour lire la suite... "Votre influence dépend du poids que vous mettez du bon côté de la balance. [...] Le mal n'est pas pouvoir." Mary Baker Eddy, Science et Santé p.192:22-28 Une femme exceptionnelle
Consuelo Mendoza Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 2003 Plus de trois cents femmes sont mentionnées dans la Bible et chacune d'elles joue un rôle important en faisant passer un message spécifique. La Sunamite est l'une de ces femmes. Son histoire, qu'on peut lire dans l'Ancien Testament (II Rois 4), est particulièrement intéressante. Cette femme vivait à Sunem, village au nord de Jizreel et au sud du Mont Guilboa, sur le territoire d'Issacar. Mais avant de parler de cette « femme de distinction », jetons un coup d'œil à la situation des femmes dans l'ancien Israël. En général, les droits et la position sociale des femmes en Israël dépendaient de la relation qu'elles avaient avec leur père ou leur mari qui dirigeait la maison. D'après J. Pedersen dans son livre Israel: Its Life and Cultures [Israël: son mode de vie et ses cultures], la structure patriarcale de cette société, et spécialement à l'intérieur de la famille, reposait sur la croyance que l'âme de l'homme était plus forte que celle de la femme. Cependant, dans la Bible, on rencontre quelques cas de femmes qui avaient un certain pouvoir de décision chez elles. « La Sunamite était prête à prendre certaines décisions au sein de la structure familiale, tout comme Abigaïl ou même Sara (Gen 21:12) » Pour lire la suite...
La Science Chrétienne: Science du salut
Conférence faite par Mr. le professeur Hermann S. Hering, C.S.B., membre de la Commission des Conférences de l'Église Mère, La Première Église du Christ, Scientiste - à Boston, É. U. d'A. Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1920 Pour peu qu'on se donne la peine de penser, il faut reconnaître qu'aujourd'hui, plus que jamais dans le passé, le monde a besoin d'être délivré de ses maux, c'est-à-dire, de ses péchés, de ses souffrances, de ses maladies, de sa mortalité, et enfin, de son incrédulité. Quand on constate les misères et les ruines amoncelées de toute part autour de nous, quand on voit les détresses et les échecs qui accompagnent tout effort, enfin quand on note à quel point le monde est asservi au mal et à la matérialité, il est hors de doute que ce dernier réclame instamment quelque chose de plus efficace, c'est-à-dire, pour parler avec exactitude, une intelligence pratique de cette partie des enseignements bibliques qui lui promet son affranchissement du péché et de la maladie. LA PROMESSE DU SALUT Voici bientôt vingt siècles, cette question était d'une telle importance aux yeux de notre Sauveur Jésus-Christ, qu'il endura volontairement les affres inexprimables de Gethsémané et de la croix pour apporter le salut au genre humain. La Bible déclare que Jésus-Christ vint détruire les œuvres du démon, et l'histoire de sa vie atteste qu'il détruisit le péché, la maladie et la mort, et qu'il apprit à ses disciples à l'imiter, leur disant: “Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais;” elle atteste aussi que les premiers Chrétiens, fidèles pendant près de trois siècles à son ministère, surent démontrer la vérité des enseignements de leur Maître en accomplissant eux-mêmes ses œuvres merveilleuses. (...) Pour lire la suite...
Comment j’ai connu la Science Chrétienne Se détourner pour mieux voir Karen McCoy Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2019 Paru d'abord sur notre site le 22 janvier 2019. Je n’ai jamais été intéressée par la religion. Je pensais que ce n’était pas fait pour moi. Mais une expérience a changé ma perspective et m’a initiée au pouvoir de guérison de la Science Chrétienne. A l’époque, mon mari et moi travaillions dans le corps médical ; et parce que nous étions engagés dans le secteur de la « guérison », un membre de la famille nous a offert un abonnement au Christian Science Sentinel, la publication sœur du Héraut de la Science Chrétienne, mais en anglais. Comme je ne m’étais pas abonnée moi-même à ce magazine, j’avais l’habitude de jeter les numéros lorsqu’ils arrivaient. Mais, lorsque j’ai appris qu’il s’agissait d’un cadeau, j’ai décidé d’y jeter un œil. En lisant les articles et les témoignages relatifs à la guérison spirituelle que l’on trouve dans chaque numéro, j’avais du mal à comprendre le sens des articles, mais je comprenais bien les témoignages. Chaque auteur relatait un problème qu’il avait rencontré, et expliquait comment il avait prié Dieu et avait été guéri. Waouh ! C’était assez impressionnant pour moi, surtout au regard de mon expérience professionnelle. (...) Pour lire la suite... Qu'apprenons-nous par l'allégorie d'Adam? PAUL H. EAMES Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1957 Adam joue le rôle principal dans une allégorie biblique présentant le rapport erroné de la création. Ce n'est point un personnage de l'histoire ancienne. Au fait, il n'a jamais existé. Mais pour tous ceux qui désirent comprendre l'origine et la nature de l'homme, l'allégorie d'Adam, démasquant l'erreur, peut être étudiée avec profit. Cette narration entièrement fictive commence au deuxième chapitre de la Genèse (verset 6). Son auteur montre le faux concept matériel quant à la création du genre humain et de l'univers. Il appelle le premier homme, qui n'est qu'un mythe, Adam, terme qui dérive de l'hébreu adamah, signifiant la couleur rougeâtre de la terre. Ce nom même indique que l'origine et la nature d'Adam sont la poussière, la boue — la matière inintelligente. L'allégorie fait voir que dans sa création, son expérience, son entourage et sa destinée, Adam est l'antipode de l'homme spirituel dont parle le premier chapitre de la Genèse. L'histoire d'Adam est une leçon de choses utile pour nous, parce qu'elle dépeint sous une forme allégorique le contraire de la création véritable. Pour lire la suite... L'individualité s'oppose à la personnalité ANNA EVRÉÏNOFF Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1967 La question « Que sont la vie et la mort ? me tourmenta profondément dès ma prime jeunesse. La Première guerre mondiale et la révolution dans le pays de mon enfance ne firent qu'augmenter l'acuité de cette question. Les paroles de Mrs. Eddy: « L'existence mortelle est une énigme » 1 définissent bien l'état dans lequel je me trouvais; j'éprouvai le besoin impérieux de résoudre à tout prix cette énigme, sans quoi la vie ne valait plus la peine d'être vécue. La prophétie de Paul: « Comme tous meurent en Adam, de même tous revivront en Christ » 2 était la réponse à ma question. Cette réponse cependant, exprimée dans des termes théologiques, semblait alors bien confuse. Qu'était cet Adam qui devait mourir inévitablement, et qu'était ce Christ en qui je devais revivre ? Pour lire la suite... Bénis et non maudits Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1999 Christian Science Monitor On entend parfois dire, à propos de certaines nouvelles tragiques, qu'elles font partie d'une malédiction. Ce terme, employé à la légère, est peut-être une manière commode pour le public et les journalistes de résumer une terrible série de malheurs. Il est censé expliquer l'inexplicable. Mais il se peut qu'il ne soit pas utilisé simplement par commodité. Il se peut que certains soient vraiment convaincus qu'il y a réellement eu une malédiction prononcée pour attirer la colère divine sur un individu ou un groupe. Tout ce bruit autour d'une malédiction qui frapperait certains — ce. n'est d'aucun avantage ni pour les personnes visées, ni d'ailleurs pour ceux qui tiennent de tels propos. Il serait bon d'aborder ces questions de façon plus raisonnée. Dans la Bible, au livre des Proverbes (26:2), on trouve les lignes suivantes: « Comme l'oiseau s'échappe, comme l'hirondelle s'envole, ainsi la malédiction sans cause n'a point d'effet. » Les spécialistes de la Bible disent qu'à l'époque, on croyait que les malédictions avaient une force inhérente et qu'une fois prononcées, elles fonçaient sur leur cible, armées d'un pouvoir destructeur. Le proverbe cité plus haut réfute cette ancienne superstition. Une malédiction sans cause n'atteint pas la cible, pas plus qu'un oiseau qui vole sans but n'arrive à sa destination. Quand on réfléchit à la nature de Dieu, la seule Cause, qui est toute bonté et qui reste inébranlable dans l'amour qu'il porte à Sa création, il est évident que Sa force ne donne jamais de pouvoir aux paroles que quelqu'un prononce dans l'intention de nuire. Dieu ne prête tout simplement pas Son pouvoir à de telles choses. Au contraire, il est dans Sa nature de combler de bienfaits tous Ses enfants. Pour lire la suite... La grâce qui allège nos fardeaux Michelle Nanouche Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 2011 Pensez-vous qu'il soit possible de mener une vie libérée de tout fardeau ? Pour ceux qui se sentent accablés sous la pression des échéances, des dettes, du chômage, d'une mauvaise santé, de lourdes responsabilités envers la famille ou l'église, d'un sens de culpabilité ou de tout autre fardeau, l'idée de tourner la page pour laisser ce poids derrière soi peut sembler quelque chose d'impossible ou de trop beau pour être vrai. Mais en fait non, ce n'est pas le cas ! La Bible fournit des solutions pratiques à ces problèmes accablants. Christ Jésus a dit: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux, et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. » (Matthieu 11:28-30) Voici une interprétation contemporaine du message de Jésus: « Êtes-vous épuisé ? Éreinté ? Fatigué d'une religion superficielle ? Venez à moi. Suivez-moi et vous retrouverez votre vie. Je vous montrerai comment vous reposer réellement. Marchons d'un même pas et travaillons ensemble; prenez exemple sur moi. Apprenez à vivre au rythme naturel de la grâce. Je ne vous chargerai d'aucun fardeau ni de ce qui ne vous convient pas. Restez en ma compagnie et vous apprendrez à vivre librement et sans contraintes. » (Eugene Peterson, The Message) Pour lire la suite... "L’Amour révèle le chemin, l’illumine, le désigne, et nous y guide." Science et Santé p 45425/4/2023
Il y a quelque temps, un ami me disait: « Je trouve la Science Chrétienne intéressante, mais j'ai du mal avec la notion de péché ! » Il soulevait là un point fondamental. En fait, Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, donne au péché un sens qui n'a pas grand-chose à voir avec la conception théologique traditionnelle qui heurtait mon ami. Une bonne raison de s'y intéresser de plus près ! C'est vrai, Mary Baker Eddy évoque très souvent le péché dans ses écrits. Cette notion est bien présente dans la culture religieuse de ses contemporains, dans la Nouvelle-Angleterre du XIXe siècle. Mais dès l'enfance, Mary rejette la croyance à la prédestination et à la damnation éternelle. Elle ne peut accepter l'idée que certains hommes brûleraient éternellement dans les flammes de l'enfer alors que d'autres seraient sauvés. (...) Pour lire la suite... . Rien n'est « plus fort que moi » ! HELEN A. DEL NEGRO Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’octobre 1990 Lorsque vous faites une chose que vous savez être incorrecte, ne dites-vous jamais en guise d'excuse: « C'est plus fort que moi ! », sous prétexte qu'il vous est apparemment impossible de faire autrement ? Je suis sûre que c'est arrivé à la plupart d'entre nous à un moment ou à un autre. Récemment, j'ai lu un article qui m'a fait revoir complètement la question. L'auteur rapporte que l'inceste, la sexualité débridée, l'alcoolisme, la toxicomanie et la passion du jeu sont de plus en plus considérés comme des « maladies », nécessitant à ce titre un traitement médical. On s'oriente, dit-il, vers « la médicalisation des déviances » et le refus d'assumer la responsabilité de ses propres actes. L'auteur de l'article parle de « nouvelle obscénité » à propos de cette démission face aux responsabilités morales. « Il s'agit, écrit-il, d'une exclamation souvent répétée qui porte directement atteinte à notre humanité: “C'est plus fort que moi !” » De nos jours, une très grande partie de la société agit dans l'unique but d'une satisfaction immédiate. On ne condamne pas assez ces habitudes qui consistent à boire en société, à prendre de la drogue pour se « divertir » et à vivre des aventures sexuelles prétendues « discrètes » ou « sans danger ». On justifie souvent ces pratiques en les qualifiant d'inoffensives, alors qu'on condamne la moralité, jugée superflue et peu attrayante, ou simplement sans rapport avec la poursuite du bonheur. Ce dont les gens ne se rendent pas compte, c'est qu'il n'existe qu'une frontière bien mince entre les pratiques sociales admises de nos jours et la déchéance potentielle. Lorsqu'une personne commence à justifier ses actions en disant: « C'est plus fort que moi ! » elle s'approche dangereusement de la limite à ne pas dépasser. Pour lire la suite... ...
Les promesses de Dieu et la certitude de la guérison Sue A. Spotts Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2022 Le récit historique des Écritures est tissé avec les promesses d’espoir, de bien-être, de sécurité et de délivrance de Dieu. Des promesses ont été faites à Abraham, à Isaac, à Jacob, à Moïse, à Néhémie, à Noé et aux rois Josaphat, Ezéchias, David et Salomon – pour n’en citer que quelques-uns –, et elles affirment que leur juste dessein sera récompensé, que les batailles seront gagnées, que les personnes seront guéries et protégées, que les familles seront nourries, que des terres leur seront accordées et que des gouvernements sages seront établis. Le point le plus important pour nous, aujourd’hui, est que ces promesses ont toutes été tenues. Dans chaque cas, Dieu, qui est tout-aimant, a été fidèle à Sa Parole. Bien que chaque promesse accomplie ait impliqué que les personnes répondent à l’inspiration spirituelle et obéissent aux directives divines, en dernière analyse, une puissance bien plus grande que ces figures bibliques était à l’œuvre. C’était Dieu Lui-même, manifestant Sa volonté aimante pour l’humanité et révélant l’héritage de liberté spirituelle de l’homme vis-à-vis des contraintes de la croyance mortelle. Pour lire la suite... MOURIR NE FAIT PAS PARTIE DU PLAN DE DIEU Gabriel Lumbadila Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 2008 Dans mon pays d'origine, la République Démocratique du Congo, j'ai souvent entendu ces mots: « Etangamaki » ou « Mokano ya Nzambe », ce qui veut dire « c'était prévu ainsi » et « c'est la volonté divine ». Par ces expressions, mes compatriotes, comme beaucoup d'autres dans le monde, tendent à attribuer à Dieu non seulement la vie et la mort, mais aussi le bien et le mal, la maladie et la santé, la richesse et la pauvreté, auxquels ils sont confrontés dans leur vie quotidienne. Il s'agit là d'un Dieu à physionomie humaine, dont on ne peut que subir patiemment le plan. Mon expérience m'amène à penser que la Science Chrétienne, Consolateur promis par Jésus Christ, vient à la rescousse de l'humanité pour révéler des vérités sur la Vie qui est Dieu et sur les résurrections accomplies par les anciens prophètes et par Jésus et ses disciples. Pour lire la suite...
La résurrection n’est pas un évènement ponctuel Wendy Giersdorf Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 2023 Un ami m’a récemment demandé : « Quel est le point de vue de la Science Chrétienne sur la résurrection ? » Je suis profondément reconnaissante pour sa question, car elle m’a invitée à explorer ce que les écrits de Mary Baker Eddy ont à dire sur la résurrection, ainsi qu’à lire plusieurs articles à ce sujet dans les archives des périodiques de la Science Chrétienne. La Science Chrétienne enseigne quelle est la signification de la résurrection de Christ Jésus de la tombe – sa résurrection et sa victoire sur la mort (voir, par exemple, le cinquième article de foi dans Science et Santé avec la Clef des Écritures, de Mary Baker Eddy, à la page 497). Ces enseignements mettent également en lumière ce qui a conduit à la résurrection de Jésus et ce qui engendre une forme de résurrection dans nos vies. Dans le Glossaire de Science et Santé, qui donne le sens spirituel de termes bibliques, la « résurrection » est définie ainsi : « Spiritualisation de la pensée ; une idée nouvelle et plus élevée de l’immortalité, ou existence spirituelle ; croyance matérielle cédant à la compréhension spirituelle. » (p. 593) Bien que cela caractérise ce que Jésus a démontré dans sa résurrection unique en son genre, cela décrit également ce qu’il nous est possible de vivre à chaque étape de notre vie. Pour lire la suite... “Pais mes brebis” William D. McCrackan Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1919 Nous sommes appelés à nourrir les cœurs affamés avec la vision de la vérité spirituelle, avec le pain du ciel, le reflet de l'Amour divin; à passer au delà des limites étroites de la justice humaine, et, dans une noble imitation du Père-Mère, de laisser briller notre lumière sur les justes et sur les injustes. La compréhension spirituelle perce la couverture du mal caché. Elle montre que la croyance à la matière n'a pas de fondement, et que la loi physique est subordonnée à la loi de Dieu. La Parole de Dieu poursuit le mal sous la surface de la mer, tant ici-bas sur la terre que dans les eaux sous la terre. Elle prend son essor dans le domaine des airs et montre à ses sentinelles le moyen de prévenir les mauvais desseins de l'ennemi et d'empêcher l'attaque secrète en lui enlevant son secret. Après sa résurrection, après le dernier festin joyeux et mémorable auquel participa Jésus avec ses disciples, il enjoignit à Pierre d'une manière très impressionnante de paître ses brebis. Pour lire la suite... Prêts à recevoir les Bénédictions IRVING C. TOMLINSON Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1940 A Tous ceux qui veulent faire avancer la Cause de la Science Chrétienne, le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, adresse cette vibrante déclaration (p. 570): « Des millions d'esprits sans préjugés qui cherchent la Vérité en toute simplicité, voyageurs fatigués et altérés dans le désert, attendent en guettant le repos et le boire. Donnez-leur un verre d'eau froide au nom du Christ, et ne craignez nullement les conséquences de votre bonne action. » Quelques lignes plus bas, nous lisons ceci: « Ceux qui seront prêts à recevoir les bienfaits que vous dispensez, en rendront grâces. » Comment donner « un verre d'eau froide au nom du Christ, » c'est ce que dépeint admirablement un récit de Matthieu, où Jésus guérit la fille d'une Syro-phénicienne. Cette femme était Grecque. La scène se passe dans le territoire de Tyr et de Sidon. Les acteurs en sont: le Christ Jésus, le plus remarquable des hommes, ayant pour tous des bénédictions; une Cananéenne, une païenne qui désirait ardemment un bienfait; les disciples, insistant auprès du Maître pour qu'il renvoie cette femme; et à l'arrière-plan, le personnage invisible qui a grand besoin d'une bénédiction, la jeune fille soi-disant incurable, tourmentée par un démon. Pour lire la suite... Enveloppés dans la brume de l’erreur (l’erreur de croire que la matière peut être intelligente pour faire le bien ou le mal), nous ne pouvons avoir de clairs aperçus de Dieu que lorsque la brume se disperse, ou qu’elle devient si légère que nous apercevons l’image divine dans quelque parole ou action qui indique l’idée vraie – la suprématie et la réalité du bien, le néant et l’irréalité du mal. Science et Santé 205:15 Ma traversée du désert m’a guidée
vers le Christ Ute Keller Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 27 mars 2023 Dans l’Évangile selon Marc, nous lisons : « C’est la voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez ses sentiers. » (Marc 1:3) Mary Baker Eddy donne cette définition du « désert » dans Science et Santé avec la Clef des Écritures : « Solitude ; doute ; ténèbres. Spontanéité de pensée et d’idée ; le vestibule où le sens matériel des choses disparaît, et où le sens spirituel révèle les grands faits de l’existence. » (p. 597) Ces énoncés me rappellent l’époque où j’ai eu à trouver ma voie, à quitter une carrière médicale pour embrasser l’étude et la pratique de la Science Chrétienne. Travailler dans le domaine médical ressemblait de plus en plus à une traversée du désert pour moi. Je nourrissais une insatisfaction croissante et des doutes concernant ce que j’avais étudié pendant des années. Je me sentais seule, et même craintive. Après avoir appris ce qu’enseigne la Science Chrétienne, je ne savais pas quoi faire de mes nouvelles idées. Mais au moins, je pouvais comprendre pourquoi je doutais de mon activité médicale. J’ai aussi réalisé que, jusque-là, je n’avais aucune idée de qui j’étais vraiment, et encore moins que j’étais spirituelle. Pour lire la suite... Pour l'écouter l'article Vaincre la peur Ann Kenrick Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1992 L'un De Mes Premiers souvenirs d'enfance est lié à des couleuvres qui avaient éclos dans la remise de notre jardin. Ne sachant pas ce qui s'était passé, j'ai ouvert la porte et j'ai vu au moins une douzaine de minuscules serpents verts qui ondulaient sur toute la surface du sol. Ces tout petits serpents étaient, bien entendu, absolument inoffensifs et, cependant, j'ai été saisie d'une peur irraisonnée. J'avais beau comprendre qu'ils étaient inoffensifs, je sanglotais et tremblais comme si j'étais en danger. Quelques années après la mésaventure des serpents, alors que j'étais élève à l'école du dimanche de la Science Chrétienne, j'ai appris que l'amour de Dieu embrasse tout, et j'ai entrevu cette vérité puissante: nous ne pouvons jamais être privés de la protection et de la sollicitude de Dieu, car, en réalité, nous sommes Ses enfants bien-aimés, gouvernés par Sa loi du bien. Je me souviens avoir lu dans la Bible, dans le livre de l'Exode, l'histoire de Moïse, le grand chef hébreu. Pour lire la suite... La lumière et la certitude qu’elle nous éclaire Brian Webster Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2019 Demandez à un enfant de vous donner une définition de la lumière, et il pourrait bien vous répondre : « C’est ce qui nous permet de voir ! » Cette simple logique est l’une des raisons pour lesquelles la lumière, dans la Bible, paraît si souvent indiquer la compréhension spirituelle. Cette compréhension permet de discerner la présence de Dieu dans notre vie, présence exprimée par la santé, l’harmonie et l’amour, même si nous paraissons lutter avec un sens de l’existence qui semble difficile et souvent agitée. On peut sortir des ténèbres en se tournant vers la lumière spirituelle qui illumine le chemin. En fait, et même un enfant sait cela, là où se trouve la lumière, il n’y a pas de ténèbres. La lumière spirituelle, ou illumination divine, trace devant nous un chemin clair comme le jour, et attend que nous y marchions. Pour lire la suite... |
Vous recherchez un mot, une phrase, un passage ou une page dans Science et Santé de Mary B. Eddy C'est facile et gratuit avec le nouvel outil de recherche CONCORD FRANCAIS -.-.-.-.-.-.-.-.
DAILY LIFT Un message d'inspiration quotidien Leçon biblique de cette semaine
Substance Pour écouter un extrait -.-.-.-.-.-
-.-.-.-.-.-.-
Les livrets trimestriels janvier-mars 2024 sont disponibles à l'achat ! La salle de lecture est ouverte : MERCREDI 16h30 à 19h00 VENDREDI 15h00 à 17h00 DIMANCHE 15 min avant et après le service qui a lieu de 10h30 à 11h30 Tel : 06 30 60 07 19 -.-.-.-.-.-.-
Assemblée Annuelle lundi 3 juin 2024 "La joie au sein de l’Église vivante" "La découverte et la preuve."
REDIFFUSION "Votre influence dépend du poids que vous mettez du bon côté de la balance. [...] Le mal n'est pas pouvoir."
Mary Baker Eddy, Science et Santé NOUVEAU
Explorez les archives de la bibliothèque Mary Baker Eddy NOUVEAU à la salle de lecture -.-.-.-.-.- Ce livre commence par un sermon que Mary Baker Eddy a écrit pour la dédicace de l’édifice original de L’Église Mère, en 1894. Il inclut également des extraits de journaux qui rendent compte de cette dédicace. Ceux-ci racontent l’immense réalisation que représentait la construction de cette église et la façon dont elle témoigne de la foi et de la consécration du mouvement mondial de la Science Chrétienne.
Pour regarder la vidéo de présentation -.-.-.-.-.-.-.-.
-.-.-.-.-.-
-.-.-.-.-.-.-.-.
-.-.-.-.-.-.-.-.
Donner et Recevoir les Mercredis Soirs WILLIAM R. RATHVON Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1930 -.-.-.-.-.-.-.-.
-.-.-.-.-.-.-.-.
Lecture à haute voix en commun de Science et Santé de Mary Baker Eddy
-.-.-.-.-.-
Être Praticien de la Science Chrétienne |
Plan d'accès |
Deuxième Église du Christ, Scientiste, Paris
58 boulevard Flandrin |